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LES CODEX DE MADRID I-II

L’édition fac-similée définitive des manuscrits les plus mystérieux et les mieux conservés de Léonard Da Vinci

POUR EN SAVOIR PLUS

AU SUJET DE cARTEm ET LES CODEX MADRID

cARTEm est une maison d´édition consacrée à la reproduction et commercialisation de fac-similés de codex du Moyen Âge et de la Renaissance, livres de gravures, manuscrits et incunables, en tirage unique, limité et numéroté par acte notarial destinée à des bibliophiles, collectionneurs et amoureux de l´art en général.  On reproduit, en somme, les trésors bibliographiques les plus significatives qui ont survécu au temps. Grâce au travail extrêmement méticuleuse de notre équipe, et de la synergie entre la technique la plus moderne et l’artisanat, nous obtenons une reproduction tellement identique aux originaux, jusque dans le moindre détail.

La maison d’édition cARTEm a le plaisir de présenter l’édition fac-similée définitive des manuscrits les plus mystérieux et les mieux conservés d’un de plus grands génies de l’histoire de l’humanité : LES CODEX DE MADRID.

Actuellement cachées dans la Bibliothèque nationale d’Espagne. Il s’agit d’un ensemble sans précédent, une vision dynamique de l’univers, dans lequel Léonard a consigné des notes et des pensées, comme les résultats de ses recherches et de ses expériences dans le domaine de la mécanique, de la géométrie, de l’hydrologie, de la musique, de l’architecture…

En plus d’être des notes d’une qualité et d’une source incroyables, ce codex représente environ 15% des notes de références au sujet de Léonard da Vinci.

Laissez-vous aller à la fascination du fac-similé et embarquez avec nous pour un extraordinaire voyage dans l’univers du Leonard da Vinci !

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DA VINCI, GENIE UNIVERSEL ET INTEMPOREL

Est un génie de Renaissance, un « polymathe » ou « personne d’esprit universel », à la fois peintre, scientifique, ingénieur, inventeur, anatomiste, architecte, botaniste, musicien et beaucoup d’autres choses.  Aussi il s’agit d’une icône pop ou même un personnage d’actualité brûlante. (en 2020 a mené la recherche d’artistes sur Google sur rien de moins que 82 pays et des millions de recherches, presque trois fois plus que le suivant dans la liste)

Rares sont les jours où l’on ne se réveille pas avec des nouvelles qu’il s’agisse des découvertes, des théories, des recherches sur l’ADN ou des livres, des séries ou de nouvelles expositions sur l’artiste florentin. Quoi qu’il en soit, il est miraculeux qu’une personne née au XVe siècle soit toujours aussi présente au XXIe siècle. C’est une chose qui n’arrive qu’aux personnes vraiment exceptionnelles.

« La plus grande sagesse est de voir à travers les yeux d’un autre »

Saviez-vous qu’il a joué un rôle important pour l’évolution de l’art de la guerre en étant un talentueux ingénieur militaire ? À ce titre, il a imaginé et parfois réalisé de nombreux objets militaires : des vaisseaux volants s’inspirant des ailes d’un oiseau ; des armes de jets comme une catapulte à ressort ; des armes défensives d’approches comme des chars blindés en forme de tortue ; ou encore des plans de forteresses comprenant quatre paliers défensifs.

Ou, quand Léonard a-t-il pensé avoir découvert la solution à la quadrature du cercle ?
« La nuit de la Saint-André, j’ai trouvé la solution finale de la quadrature du cercle alors que la bougie, la nuit et le papier sur lequel j’écrivais touchaient à leur fin, quand l’aube naissait » Codex Madrid II, f. 112r.

cARTEm vous invite à redécouvrir les milles visages du génie à travers ces pages !

LES CODEX PERDUS PENDANT 150 ANS !

En février 1967, le New York Times publie en première page une nouvelle extraordinaire. Jules Piccus, un chercheur américain, a trouvé à Madrid (Espagne) deux cahiers manuscrits contenant 700 pages de notes, de dessins et d’esquisses de Léonard de Vinci.  Alors, ces Codex de Léonard, que l’on croyait perdus, venaient d’être retrouvés à la Bibliothèque nationale d’Espagne. Le premier moment de stupeur passé, on se demanda comment ces deux Codex avalent pu demeurer à Madrid.

Le mystérieux périple du l’héritage autographe de da Vinci

Les différents codex de Léonard ont été hérités par son fidèle disciple Francesco Melzi.  Quand il mourut en 1570, son fils et héritier, Orazio, relégua au grenier ces manuscrits, pour lui dénuées d’intérêt.   Lelio Gavardi, précepteur dans la famille Melzi, lui les en emporta á Florence pour les offrir á François de Médicis, dans l’espoir d’en tirer un substantiel bénéficie. Mais le duc avait un conseiller qui lui déclara : « Rien de ceci ne saurait intéresser Votre Excellence »

Comme l’affaire ne fut pas conclue, Gavardi demanda l’un de ses amis, Ambrogio Mazzenta, de restituer les cahiers à Orazio Melzi. Mais apparemment, celui-ci n’en voulut pas

C’est alors qu’entra en scène Pompeo Léoni qui allait jouer un rôle décisif.   Sculpteur à la cour de Philippe II, roi d’Espagne, Léoni s’intéressa aux manuscrits et réussit à se procurer un grand nombre d’écrits de Léonard lors de son séjour à Milan vers 1590 et les emporte à Madrid.  Il modifia radicalement l’ordonnancement originel des papiers de Léonard, effaçant du coup de précieuses indications sur l’ordre de composition, la chronologie, le nombre primitif des cahiers, enfin, préluda à de nouvelles dispersions et de nouvelles disparitions.

Á sa mort, l’héritage autographe du Leonardo est passé par un certain nombre de propriétaires différents. On savait, par exemple, que Thomas Howard, comte d’Arundel, réussit à acquérir un grand recueil compilé par Pompeo Léoni. Mais, il y a tout de même des nouvelles que Juan de Espina, collectionneur madrilène, acheté quelques manuscrits aussi et que le roi Charles Ier d’Angleterre, alors prince de Galles, puis le Florentin Vincenzo Carducci, étaient venus chez Espina pour voir ses collections. L’un et l’autre, entre maintes merveilles, avaient signalé deux livres « écrits et dessinés par le grand Léonard de Vinci ».  Espina était mort en 1642, léguant au roi d’Espagne tous ses trésors, dont les codex entrèrent ainsi à la Bibliothèque du Palais (bibliothèque du monastère de l’Escorial).

Finalement, les codex sont arrivés à la Bibliothèque royale, aujourd’hui Bibliothèque nationale d’Espagne, en 1712, où, pour diverses raisons, ils sont restés perdus pendant 150 ans.

« La récente découverte de deux grands manuscrits de Léonard de Vinci, dessins et textes, que l’on avait crus longtemps perdus à jamais, a ouvert un chapitre nouveau, et particulièrement étonnant, de la pensée et de l’œuvre de Léonard, génie universel s’il en fut » Anna Maria Brizio, UNESCO, 1974.

DEMANDE D’INFORMATIONS

CODEX DE MADRID I-II

Codex Madrid I (MS. 8937)
« Traité de statique et mécanique »
192 feuilles (384 pages)
Format : 215x145mm

« La mécanique est le paradis des sciences mathématiques, car, par elle, on en arrive au fruit mathématique »

Codex Madrid II (MS. 8936)
« Traité de fortifications, statique et géométrie »
158 feuilles (316 pages)
Format : 210x145mm

« Le livre de la science des machines vient avant le livre de leurs applications »

Le Codex Madrid est divisé en deux manuscrits, qui sont conservées dans la Bibliothèque nationale d’Espagne.  Il s’agit d’un ensemble sans précédent, une vision dynamique de l’univers, dans lequel Léonard a consigné des notes et des pensées, comme les résultats de ses recherches et de ses expériences dans le domaine de la mécanique, de la géométrie, de l’hydrologie, de la musique, de l’anatomie, du vol de oiseaux.  Un ensemble d’une ampleur sans précédentes, dans lequel s’inclue également une liste de plus de 116 livres que Léonard a utilisés pour ses recherches.

Á vrai dire, Ils mettent en lumière la personnalité énigmatique de l’artiste parce que les deux Codex couvrent une période d’une quinzaine d’années, de 1491 à 1505, alors que l’activité de Léonard était la plus intense.

Codex Madrid I est un codex exceptionnellement homogène par son sujet, car il porte essentiellement sur la mécanique. Mais aussi sur la musique, ingénierie militaire ou la peintre.

La qualité de l’appareil iconique et l’intérêt des textes explicatifs en font une source d’information indispensable sur le fonctionnement d’un esprit prodigieux.

Codex Madrid II, au contraire, représente un éventail de sujets très divers, mais qui pour la plupart se rattachent aux problèmes artistiques. C’est un traité de statique et géométrie mais aussi Il s’agit d’un traité sur la poliorcétique : la construction et le défi des fortifications. Et en plus le codex développe, entre autres, le problème du vol artificiel piloté et explique un système original de reproduction simultanée d’écrits et d’illustrations au moyen de plaques métalliques.

Il contient également des éléments personnels : une liste de sa garde-robe, un inventaire des livres qu’il a laissés à Florence vers 1504, l’expression d’un amour non partagé… 

– « Le livre de la science des machines vient avant le livre de leurs applications »

– « La mécanique est le paradis des sciences mathématiques, car, par elle, on en arrive au fruit mathématique »

Indispensables pour connaître le fonctionnement d’un esprit prodigieux !

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CARACTÉRISTIQUES DE L’ÉDITION FAC-SIMILÉ

« Les détails font la perfection, et la perfection n’est pas un détail »

Le fac-similé a été réalisée avec une extrême précision grâce à les plus nouvelles techniques d’impression utilisées, comme des machines laser de dernière génération pour reproduire les déchires de certains feuilletés, associées aux anciennes méthodes, nous permettent de reproduire minutieusement tous les détails de la version originale.

Édition fac-similé en couleurs et découpée à l’emporte-pièce.

Faite à la façon d’un « zibaldone » ou cahier du XVème siècle. Comme ceux utilisés par Léonard de Vinci.

Reliure en veau de chèvre artisanal.

Ce la première édition critique de ses «Codex de Madrid I et II».  L’Edition facsimile vient accompagné d’un livre commentaire (ArtBook) avec la traduction et de la transcription des textes originaux.

Présentation dans une boite laquée verte à l’extérieur et avec ouverture de la fenêtre au centre.

Édition exclusive, limité à 999 exemplaires numérotés et accompagnés d’un acte notarial.

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